Le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) a été élu au bureau de l’Alliance mondiale des institutions nationales des droits de l’Homme (GANHRI), en tant que représentant du Réseau des institutions nationales africaines des droits de l’Homme (RINADH).
Cette décision a été entérinée lors des travaux de l’Assemblée générale du Réseau des institutions nationales africaines des droits de l’Homme (RINADH) qui s’est déroulée le 2 novembre 2021 et dont le CNDH a pris part.
Dans le même contexte, le CNDH a été réélu, en tant que représentant du RINADH, en tant que membre du Sous-comité d’accréditation (SCA) de la GANHRI et du groupe de travail sur les entreprises et les droits de l’Homme de l’Alliance, aux côtés des institutions nationales des droits de l’Homme (INDH) du Malawi et du Cameroun.
Dans les instances du RINADH, le CNDH a été réélu en tant que président du groupe de travail sur la migration, et élu membre du Comité directeur du RINADH en représentation de la sous-région du nord, aux côtés des INDH du Ghana, Rwanda, Malawi, Zimbabwe, RDC, Togo, Kenya et Egypte.
En outre, et sur une proposition de Mme Amina Bouayach, Présidente du CNDH, retenue par l’Assemblée générale du RINADH, un groupe de travail sur les droits de l’enfant a été créé, dont le CNDH a été élu membre.
En marge de l’Assemblée générale du RINADH, Mme Bouayach a participé, le 4 novembre 2021 par visioconférence à une interaction de la Haut-commissaire aux droits de l’Homme, Mme Michelle Bachelet, avec cinq INDH africaines, autour des bonnes pratiques en temps de pandémie Covid-19.
Par ailleurs, le CNDH a participé au symposium des INDH sur le thème « Rôle des institutions nationales des droits de l'Homme dans la réduction de l'écart de responsabilité dans l'urgence climatique », tenu le 5 novembre 2021 en marge de la COP26.
Tout en saluant vivement l’adoption de la résolution du Conseil des droits de l'Homme des Nations Unies, qui a reconnu, pour la première fois, le droit à un environnement propre, sain et durable en tant que droit humain, Mme Bouayach rappelle que le projet de texte, proposé par cinq pays dont le Maroc, constitue la consécration des efforts déployés par plusieurs acteurs, dont les institutions nationales des droits de l'Homme.
Il convient de rappeler que les travaux de l’Assemblée générale du RINADH ont été consacrés aux discussions et échanges sur la planification stratégique du réseau au titre de 2022-2025, à la présentation du bilan du Groupe de travail sur la migration au titre de l’année 2020 et aux élections des autres organes du RINADH.
Cet événement s’est également distingué par l’élection du Conseil national des droits de l’Homme du Zimbabwe en tant que président du RINADH.